Besoin De Contester Une DÃ cision De La Cnesst
À cette étape, il est primordial de prendre des décisions éclairées relativement au déroulement du procès. Vous devrez décider s’il est pertinent de faire témoigner votre médecin et si vous entendez produire une expertise médicale. De façon à prendre des décisions éclairées et stratégiques, nous vous recommandons de demander l’aide d’un de nos professionnels. Nous offrons également des services légaux pour d’autres entités gouvernementales du Québec.
Vous pouvez également écrire une lettre à l’agent d’indemnisation et lui faire parvenir par télécopieur ou par la poste. Il faut indiquer clairement que vous n’êtes pas d’accord avec la décision et préciser la date de la décision que vous contestez. La lettre doit respecter toutes les exigences prévues aux règles de preuve et de procédure du Tribunal administratif du travail. La demande de révision de la CNESST n’est pas une procédure à prendre à la légère. De même, il faut établir votre droit à la prestation pour avoir une chance de gagner.
Le Règlement sur la nomination des membres du comité d’experts médicaux (R.R.Q., 1981, chapitre I-7, r. 1) demeure en vigueur à seule fin de terminer le traitement des réclamations faites par les personnes qui ont droit à une indemnité en vertu de la Loi sur l’indemnisation des victimes d’amiantose ou de silicose dans les mines et les carrières (chapitre I‐7). La Commission peut, par règlement, modifier ou remplacer ces programmes conformément aux articles 56.1, 124 et 125 de la Loi sur les accidents du travail. Ce pourcentage est égal à la différence entre le pourcentage établi en vertu du paragraphe 2 de l’article 35 de cette loi, selon le nombre de personnes à charge à la date de l’option, et 55%, divisée par le nombre des personnes à charge, autres que le conjoint, qui existent à cette date. De même, une personne qui reçoit une assistance financière en vertu d’un programme de stabilisation sociale n’a pas droit à une indemnité de remplacement du revenu. La Loi sur l’indemnisation des victimes d’amiantose ou de silicose dans les mines et les carrières (chapitre I-7) demeure en vigueur aux fins du traitement des réclamations faites en vertu de cette loi avant le 19 août 1985, ou en vertu du premier alinéa de l’article 576. Un travailleur poursuivi pour une infraction à la présente loi est dégagé de sa responsabilité s’il prouve que cette infraction a été commise malgré son désaccord et à la suite d’instructions formelles de son employeur.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est possible de contester une décision de la CNESST/CSST auprès du Tribunal Administratif du Travail. Les mesures de réadaptation s’étendront à davantage de travailleurs et pourront désormais débuter plus tôt. À partir du 6 octobre 2022, l’employeur et tous les autres intervenants devront obligatoirement recourir au formulaire prescrit par la CNESST pour assigner temporairement un travailleur. Cette disposition permettra d’uniformiser les demandes d’assignation temporaire, mais pourrait également avoir pour effet de retarder le traitement de certains dossiers, notamment lorsqu’un intervenant omet de remplir ledit formulaire ou tarde à le faire. Le travailleur en arrêt de travail conserve le droit de réintégrer prioritairement son emploi pendant une période d’un an à compter du début de son absence, si l’établissement où il travaillait comptait, au moment de l’accident 20 travailleurs ou moins.
Les rentes créées en vertu de la présente loi sont payables par trimestre.Les indemnités pour les cas d’incapacité temporaire sont payables aux mêmes époques que les salaires des autres employés, ne devant, en aucun cas, http://www.andylangager.net/quick/index.php?title=User:NiamhFindlay702 excéder seize jours. Si le salaire annuel de l’ouvrier dépasse six cents piastres, il n’est pris en considération que jusqu’à concurrence de ce montant. Pour le surplus, et jusqu’à mille piastres, il ne donne droit qu’au quart des indemnités susdites. Dans le cas d’un salaire annuel d’au delà de mille piastres la présente loi ne s’applique pas. Apprentis.
La Loi sur la santé et la sécurité du travail prévoit que tout employeur ou travailleur qui se sent lésé par une décision rendue par la CNESST possède le droit de la contester. Une demande de révision doit être présentée par écrit, dans un délai maximal de 30 jours après réception de la décision qui a été rendue, au bureau de la CNESST de la région où habite le travailleur. L’objet de la décision et les motifs de la contestation doivent être indiqués par l’employeur ou le travailleur.
Certains préfèrent opter pour d'autres types d'assurances qui les protègent sous différentes conditions. Avant de prendre une décision dans votre cas, parlez à un représentant de la CNESST. Il est à noter que vous pouvez aussi ajouter d'autres types de protections, selon vos besoins.